PARCOURS D’EXPOSITIONS PHOTOGRAPHIQUE
QUATRE EXPOSITIONS – QUATRE LIEUX – QUATRE THÈMES
Gérard Rondeau nous a quittés il y a deux ans, laissant derrière lui une œuvre de mémoire sur le vif qu’il m’a semblé tout à fait légitime de faire revivre sur le territoire qui l’a vu naître, à travers ce parcours photographique inédit. (suite…)
Depuis 2003, la galerie d’Exposition de l’Arsenal accueille les lauréats du Prix HSBC pour la Photographie. Pour la dernière étape de l’itinérance, le public découvrira les images primées de Petros Efstathiadis et Antoine Bruy mais également des images inédites réalisées depuis leur nomination, ainsi que celle d’Olivia Gay, Prix Joy Henderiks. (suite…)
Après l’obtention, en 2007, d’un diplôme à l’École supérieure des beaux-arts du Mans, Mathieu Dufois a commencé par réaliser, lors de Cours d’Assises, des portraits d’accusés pour les journaux locaux. Il s’agissait déjà, par le dessin, de chercher à retranscrire la mémoire d’une scène, d’un événement, d’une personne. Sur papier, que peut-on enregistrer du réel ? Par ce médium, il ausculte le passé, les souvenirs et les images qui en découlent. Cette exploration passe notamment par la réappropriation de séquences de films ou de photographies d’archives : un décryptage, presque comme une démarche archéologique, qui fouillerait dans les différentes strates de l’image afin de les faire remonter à la surface. On songe par exemple aux dessins des séries Façade (2012) et Lumières (2016), ou encore à ceux de la Harde (2017), pour lesquels il s’inspire notamment de peintures rupestres. Quelles traces persistent encore de ces lieux, époques, existences ? (suite…)
« Trois histoires iraniennes » interroge l’Iran d’aujourd’hui par un jeu de dialogues et de confrontations entre les oeuvres de trois photographes contemporains. Trois regards racontent, à travers trois approches différentes, l’histoire d’un pays au visage multiple et complexe.
L’Iran d’aujourd’hui est le fruit d’une civilisation millénaire, de traditions ancestrales mais aussi de l’histoire récente : la révolution islamique, la guerre avec l’Irak, la « révolte verte ». Entre périodes d’ouverture et de censure, les artistes iraniens trouvent grâce au medium photographique un espace de liberté et d’expression qui passe essentiellement par la métaphore et l’allégorie. La photographie devient, comme la poésie, un moyen de contourner la répression.
Les lauréats 2018 exposent tout l’été à Mougins Musée de la Photographie André Villers & Galerie Sintitulo
Pour la 4ème fois, le Prix HSBC pour la Photographie présente ses lauréats à Mougins. Antoine Bruy & Petros Efstathiadis, lauréats 2018, ainsi qu’Olivia Gay, Prix Joy Henderiks, exposeront leurs images sur deux lieux différents au cœur de la ville. (suite…)
The Lianzhou Museum of Photography (LMP) presents four new solo exhibitions of young artists from China and overseas. Organized by the museum’s curatorial team, these exhibitions aim to display contemporary photography in its diversity, and show works opening dialogues between family memories and personal experience, blurring the lines between documentary and fiction.
The 10th anniversary of the Prix Pictet, now recognised as the world’s leading award in photography, will be celebrated with a major retrospective exhibition of the work of the winners over the past ten years at Les Rencontres d’Arles in France opening on Thursday 5 July 2018.
Prix Pictet winners will attend a special screening that evening in the spectacular setting of city’s great landmark, the Théâtre Antique, focusing on the critically important issues identified by the artists shortlisted for the prize since its founding ten years ago. (suite…)
CAMPREDON centre d’art présente, pour la première fois en France, l’exposition « l’Infime » de Jessica Lange, l’actrice et photographe américaine, en partenariat avec diChroma photography (Madrid).
En 1967, Jessica Lange décroche une bourse de l’Université du Minnesota pour étudier la photographie, mais les vicissitudes de la vie estudiantine la conduisent en Espagne puis à Paris où elle décide de privilégier l’art dramatique. Elle y débute sa carrière d’actrice, qui la conduira notamment à jouer des premiers rôles dans des films emblématiques, et à remporter deux Oscars de la meilleure actrice pour Tootsie en 1983 et Blue Sky en 1995.
La Galerie Particulière est heureuse de vous annoncer que la Carte blanche Olympus 2018 a été confiée au photographe américain Todd Hido qui a créé spécialement de nouvelles œuvres avec le dernier boîtier de la gamme Olympus. Elles seront présentées au Palais de Luppé lors des Rencontres de la Photographie d’Arles.
La Fisheye Gallery s’installe à Arles pendant les Rencontres 2018.
Delphine Diallo est la figure centrale de son exposition. L’artiste se dévoile autant dans ses autoportraits que dans les portraits de sa mère ou d’inconnus. Qu’elle soit nue ou derrière un masque, visible ou invisible, Delphine crée ses propres symboles et forge son épopée féminine. Elle devient chaque jour une nouvelle femme, elle se métamorphose pour renaître toujours un peu plus forte. Elle offre aux femmes qu’elle photographie la possibilité de devenir des héroïnes mythiques. Il y a de la naïveté dans son œuvre, celle de croire à la force des images et à leur capacité à rapprocher les gens. De cette naïveté naît une beauté intense. La beauté des regards fiers, des corps en action et de la bienveillance maternelle. En présentant pour cette exposition arlésienne à la fois ses collages, ses natures mortes, ses portraits de rue et de studio, elle offre à voir des destinées vibrantes d’énergie.