À une époque où les remises en cause nécessaires et salvatrices de l’institution familiale se font entendre, où les rôles assignés sont à réimaginer, rendre compte de la diversité des approches déployées par les artistes pour représenter cette relation première pose la question de l’imbrication de l’intime et du politique. Avec eux, la mère devient reflet de soi, de sa propre histoire, de ce qui nous constitue et nous impressionne mais aussi reflet du monde, de ses codes, carcans et structures. « Mais où est donc ma place ? », semblent-ils nous dire…
Mercredi 25 octobre, Mário Macilau s’est vu remettre le prix par James Barnor, au FOMU de Anvers, à l’occasion de l’ouverture de l’exposition « James Barnor : Studio of Life » (FOMU, Anvers, 26 octobre 2023–10 mars 2024).
En avril 2023, la Fondation a fait appel à un panel de personnalités du milieu de la photographie et de l’art contemporain Africain pour nommer les candidats à la seconde édition du Prix : Juliette Agnel, Lyle Ashton Harris, Christine Barthe, Armelle Dakouo, Laure De Becker, Kami Gahiga, Sana Ginwalla, Margaux Huille, Alicia Knock, Armelle Malvoisin, Owanto, Ozi Uduma et Rakeb Sile. (suite…)
Les membres du jury se sont réuni·e·s mardi 3 octobre 2023 à l’ADAGP (Paris) La Résidence 1+2, le MINISTÈRE DE LA CULTURE, l’ADAGP, le CNRS, STIMULTANIA et PICTO FOUNDATION, accompagné·e·s des partenaires médias Fisheye Magazine et Sciences et Avenir – La Recherche. décernent le Prix Photographie & Sciences 2023 à : ANAÏS TONDEUR pour sa série Fleurs de feux, le témoignage des cendres (suite…)
Afin de célébrer les 75 ans de Magnum, quoi de mieux qu’une exposition consacrée
à ses femmes photographes d’aujourd’hui. A travers ces 12 projets rassemblés par la curatrice Charlotte Cotton (US), sous le titre Close Enough – 12 women photographers of Magnum, on perçoit que les photographes se sont approchées au plus près de leursujet, quelle qu’ait été la difficulté du contexte. On ne parle pas toutefois du même rapprochement que celui de Robert Capa. Dans une situation de reportage de guerre, il fallait shooter vite et au plus près, avec une grande prise de risque.
« A 75 ans et avec des centaines d’installations quadraturistes à son acquis, Georges Rousse n’en finit pas d’étonner. Architecte, dessinateur, plasticien, photographe, il maîtrise toute la construction de son œuvre photographique ; Georges Rousse s’est laissé inspirer par les espaces du Hangar et y a fait naître comme un « soleil ». Quand le soleil se lève au Hangar, des dizaines de cercles concentriques lui répondent. En effet, parmi les centaines d’œuvres créées par Georges Rousse aux quatre coins du monde, nous avons choisi non pas l’angle de la chronologie, de la couleur ou de la typologie des espaces, mais celui du cercle. Avec Rising Circles, l’exposition balaie ainsi des dizaines d’années de travail autour du symbole le plus puissant du monde, le cercle. En plus de la lune, du soleil, de la roue de la vie, on y verra aussi l’objectif de l’appareil photo. Pour celles et ceux qui regardent l’œuvre de George Rousse, il ne s’agit pas seulement du Close Enough mais aussi de définir un seul angle de vue précis. »
Delphine Dumont, directrice Hangar
À l’initiative de Philippe Guionie, la Résidence 1+2 est depuis fin 2015 un festival de résidences de création associant la photographie et les sciences, ancré à Toulouse et en Occitanie, à vocation européenne.
Cette exposition, présentée à Kyotographie en avril 2023 avec le soutien d’agnès b., s’installe dans la Galerie du Jour à l’occasion du mois parisien de la photographie.
Celle-ci est conçue comme une expérience immersive au sein de la diaspora caribéenne de l’est Londonien des années 1960 et 1970.
Indian photographer Gauri Gill was announced as the winner of the tenth cycle of the Prix Pictet, the global award for photography and sustainability, receiving the prize of 100,000 Swiss Francs. Gill was selected from a shortlist of 12 photographers by an independent jury.
Pour marquer les 50 ans du coup d’état contre le gouvernement populaire au Chili, la Galerie le Château d’Eau organise une exposition qui réunit les regards du photographe français Raymond Depardon et du photographe américain David Burnett, sur le pays à cette époque.