À une époque où les remises en cause nécessaires et salvatrices de l’institution familiale se font entendre, où les rôles assignés sont à réimaginer, rendre compte de la diversité des approches déployées par les artistes pour représenter cette relation première pose la question de l’imbrication de l’intime et du politique. Avec eux, la mère devient reflet de soi, de sa propre histoire, de ce qui nous constitue et nous impressionne mais aussi reflet du monde, de ses codes, carcans et structures. « Mais où est donc ma place ? », semblent-ils nous dire…
Photojournaliste, correspondante de guerre et artiste surréaliste, Lee Miller a été l’une des photographes les plus importantes du XXe siècle, travaillant dans la presse, la mode, la publicité. Ce livre évocateur présente 115 des œuvres les plus marquantes de Lee Miller, choisies par son fils, Antony Penrose.
Le scrapbook naît d’un désœuvrement, d’un doute, d’une recherche de sens.
Jamais d’une commande. Le scrapbook est un art pauvre, sans contrainte, où seule compte la vision du monde. (suite…)
En 1954, année charnière pour l’artiste, Agnès Varda monte sa première exposition personnelle, « Expo54 » et réalise son premier film,« La Pointe-Courte », en partie pensé à travers ses photographies. Les Carnets sont une collection imaginée par l’Institut pour la photographie des Hauts-de-France dans le cadre du programme de valorisation de ses fonds d’archives de photographes, en collaboration avec les éditions delpire & co (suite…)
Un bel hommage à une population oubliée par l’histoire.
Un apport passionnant et singulier à l’histoire de l’immigration en France.
Un retour sur l’histoire de Marseille et particulièrement sur le quartier de Belsunce, à la fois zone frontière et zone de transit. (suite…)
Une photo floue est-elle une photo ratée ?
En photographie, le flou a cette particularité d’être à la fois l’erreur la plus basique à éviter en même temps qu’une forme extrêmement difficile à obtenir – entre erreur technique primaire et ambition artistique. (suite…)
Depuis 2017, au cours de ses consultations, Fred de Casablanca, médecin généraliste passionné, demande à certains de ses patients – avec qui la confiance est suffisamment forte – s’il peut photographier leurs mains. Parce qu’elles sont révélatrices du premier contact avec eux lorsqu’il les accueille et les invite à entrer dans son cabinet, parce qu’il peut déjà y ressentir l’anxiété ou certaines tensions, la souffrance, mais aussi la sérénité ou l’exaltation, qui se confirmeront ou pas dans la manière dont ils poseront leurs mains une fois assis face à lui, ou quand il prendra leur pouls. La ligne de vie sur la paume, les veines apparentes, les articulations grippées, la pigmentation, la température… La description des mains est infinie. (suite…)
Ce livre accompagne l’exposition « Réconciliation » présentée à la Fondation Henri Cartier-Bresson du 8 novembre 2022 au 12 février 2023, initiée par François Hébel.
Les photographies inédites d’Henri Cartier-Bresson que l’on y découvre résonnent de façon troublante avec les clichés pris par Martin Parr, à plus de 20 ans d’écart, dans la même région du nord de l’Angleterre.
« Réalisées au cours d’une longue pérégrination à travers l’Italie, les photos de Bruno Barbey publiées aujourd’hui sont un document de vérité. Elles racontent une Italie unique, nue et authentique. Le moment crucial qui a décidé des destins collectifs. », Giosuè Calaciura
Une ciné-roman ludique, graphique et pop à l’image du film culte de William Klein !