Amandine Kuhlmann présente son installation vidéo Cash me Onlineau Studio. Réalisé en 2023, ce projet mêlant performance et vidéo explore les réseaux sociaux comme espace de représentation et de mise en scène. (suite…)
Lauréate du Prix Dior de la Photographie et des Arts Visuels 2024, Chia Huang présentera au Studio de la MEP Silence is Speaking, un projet intime retraçant la vie de A-ce et A-zhan, deux frères autistes quasi incapables de communiquer verbalement, vivant seuls avec leur père atteint d’un cancer dans la ville de Taitung, à Taïwan. (suite…)
Sous le titre Les Flocons de l’été (sur tout ton corps sont tatouées des perles d’or) [1], cette exposition propose un voyage sans début ni fin, accompagné d’une bande son dédiée, et qui s’étirerait d’un jour d’été infini à une nuit d’hiver suspendue : « C’est l’hiver, en été / La nuit blanche pourrait durer / Toute l’éternité / Loin, si loin, soi-même exilé / Sous les flocons de l’été / La nuit pourrait durer / Toute l’éternité »[2].
La MEP – Maison Européenne de la Photographie présente Music + Life, la première rétrospective en France de l’artiste britannique Dennis Morris. Cette exposition met en lumière pour la première fois l’ensemble des ses photos sur sa jeunesse à Londres, tout en célébrant ses portraits emblématiques de Bob Marley et des Sex Pistols, des œuvres qui sont devenues des images phares inscrites dans la culture populaire.
Qui a peur de l’intelligence artificielle ? Les photographes peut-être mais pas tous ! En matière d’IA, la photographie reste un modèle. L’aspect photoréaliste des images rappelle que la production de données visuelles se nourrit des photographies stockées dans les mémoires numériques. Même s’ils ne font plus de prise de vue, les photographes peuvent toujours créer à partir des entités contenues en réserve. Au-delà du folklore des hypertrucages (deep fake) auquel on réduit souvent l’image par IA, les photographes explorent ici les potentialités de la technologie dans sa capacité à imaginer le monde.
Le Studio de la MEP présente la première exposition personnelle en France de la cinéaste argentine María Silvia Esteve, dont l’installation immersive CORTEX évoque notre rapport à la mémoire et à notre subconscient. (suite…)
agnès b. présente la nouvelle exposition de sa collection à La Fab., dédiée à l’œuvre d’Harmony Korine dont elle possède la plus grande collection au monde. (suite…)
Mettant en lumière une partie souvent ignorée de l’œuvre de cette figure majeure de la photographie du
xxe siècle, l’exposition Gisèle Freund, une écriture du regard présente le travail documentaire de cette reporter- photographe à la trajectoire singulière, où s’entrelacent un fort engagement politique, une approche sociologique, une double expérience de l’exil, un attrait pour l’innovation technologique, et une véritable soif d’aventure. (suite…)
Dopo l’estate propose une véritable odyssée insulaire dans l’œil du photographe Bernard Plossu à travers une riche sélection de plusieurs dizaines de tirages. (suite…)
Initiée en 2020, l’exposition Science/Fiction — Une non-histoire des Plantes propose de retracer une histoire visuelle des plantes reliant l’art, la technologie et la science du XIXe siècle à nos jours. Réunissant plus de 40 artistes de différentes époques et nationalités, cette exposition met en regard des œuvres photographiques historiques telles que les cyanotypes d’Anna Atkins, l’inventaire des formes végétales de Karl Blossfeldt ou encore les expérimentations au microscope de Laure Albin-Guillot avec des créations d’artistes contemporain·es comme Sam Falls, Pierre Joseph, Jochen Lempert, Angelica Mesiti ou encore Agnieszka Polska.