The Eyes est la première revue de photographie en réalité augmentée dédiée à l’Europe d’aujourd’hui.
• Une publication semestrielle bilingue et haut de gamme mettant à contribution les innovations du « papier connecté »,
• Une grande ville européenne au coeur de The Eyes N°5 : Paris, une capitale à l’avant poste de l’histoire de la photographie !
• La présence d’Atiq Rahimi, de JH Engström, de Martin Parr et le Paris de Christian Caujolle,…
Aussi dans ce numéro …
• Avec les yeux de Sartre par Hans Michael Koetzle avec Christer Strömholm, Ed van der Elsken et Johan van der Keuken.
• Les collections de la Maison européenne de la photographie et du collectionneur Pascal Ordoneau.
• Scénographies de l’illusion par Dominique Baqué avec Raphaël Dallaporta, Mohamed Bourouissa, Eric Baudelaire, Thibault Brunet, Thomas Mailaender, Mathieu Pernot, etc.
• Migrants et zones de non droit avec l’Institut Jacques Delors et Samuel Gratacap.
PARMI LES GRANDS RENDEZ-VOUS DE CETTE QUATRIÈME ÉDITION…
PARIS, UNE CAPITALE À L’AVANT POSTE DE L’HISTOIRE DE LA PHOTOGRAPHIE !
Nous avons choisi d’aborder Paris à travers la grande diversité d’expériences ponctuant l’histoire de la photographie elle-même.
Le dossier Inside Paris explore divers aspects de la capitale française comme espace de rencontres, d’identification, d’existentialisme, etc.
• Le parcours de Christian Caujolle : figure majeure du paysage photographique français et international, Christian Caujolle convoque pour The Eyes plus d’un siècle de photographie pour explorer l’histoire de Paris.
• Le portfolio L’« île » du 9-3 : « La banlieue nord de Paris est une île », dit Ryuichi Ishikawa. Elle a sa géographie, ses coutumes, ses valeurs; elle est un territoire en marge, aussi éloigné de la capitale que si un morceau d’océan l’en séparait. Paroles d’insulaire et de marginal… » Par Marion Cocquet
• Rencontre avec JH Engström : « Je photographie parce que je me trouve quelque part », disait il y a quelques années le photographe suédois. En 2013, Sketch of Paris racontait une ville de faubourgs, d’hôtels déglingués et de bars de quartiers. Depuis, le décor a changé. Dans Tout va bien, paru cet été chez Aperture (prix Leica 2015), il ancre son récit dans le Värmland où grandissent ses enfants, au milieu des forêts et des élans. Mais là-bas comme à Paris, JH (prononcer « yo ») sonde les fissures de l’existence et ce qui nous relie aux lieux de notre vie. Rencontre dans un café chinois près de la gare de l’Est. Par Amaury Chardeau.
• Le paradoxe du pigeon : Les Parisiens n’aiment rien. Le fait est connu. C’est même à cela qu’on les reconnaît. Et l’objet suprême de leur détestation a pour nom le pigeon, surnommé ici « le rat volant ». Par Rémi Coignet
• Avec les yeux de Sartre : Trois livres légendaires sur Paris portent un regard plutôt sceptique sur la capitale : Les amies de Place Blanche par Christer Strömholm Love on the left bank par Ed van der Elsken Paris mortel par Johan van der Keuken
• Scénographies de l’illusion : ‘« Illusion » serait ainsi le dernier mot, le dernier message enregistré par des bouts de films vierges qui nous disent, décidément, qu’il n’est rien de vrai, ni de faux, en ce monde, simple espace de projection de nos désirs, de nos peurs, de nos illusions.’ Par Dominique Baqué; regard sur la nouvelle photographie documentaire «à la française»…
• La visite : comme dans chaque numéro, le photocityguide dans lequel le lecteur découvre les principaux lieux qui font aujourd’hui la photographie à Paris. Par Laurence Vecten.
• Small is beautiful : Défense et illustration de la photographie en régions. Par Miriam Rosen.